🪙 Valeurs refuges : protéger vos économies de la crise financière
Cette semaine, un invité spécial vous parle de la gestion d'un portefeuille boursier...
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Au programme cette semaine :
📚 Le récap des marchés financiers et crypto
📊 Les valeurs refuges pour se protéger des crises
💎 Bitcoin, l’or numérique : Mythe ou réalité ?
🎁 Guillaume Simonin, l’invité de la semaine
📺 Nos meilleurs contenus sur les réseaux sociaux
📚 Le récap' des marchés
Marchés boursiers
5 leçons à tirer des difficultés des banques
La semaine dernière, les pressions exercées sur le secteur bancaire ont été au centre de l'attention et les marchés ont fait les gros titres en dents de scie. Des inquiétudes sont apparues après les faillites de la Silicon Valley Bank (SVB) et de la Signature Bank, qui se sont ensuite étendues à la First Republic Bank et au Crédit Suisse.
Ce coup double impliquant des banques régionales américaines et une grande banque internationale a brièvement effacé les gains du S&P 500 pour l'année. Mais l'action rapide des décideurs politiques, ainsi qu'une forte baisse des rendements obligataires, ont permis aux actions de rebondir et aux portefeuilles bien diversifiés de progresser au cours de la semaine.
Presque exactement un an après le début de la campagne de relèvement des taux la plus agressive de la Réserve fédérale en quarante ans, les récents problèmes bancaires pourraient potentiellement marquer un tournant dans la politique monétaire.
Principaux enseignements :
Des fissures apparaissent, mais l'effondrement de SVB n'est pas une répétition de 2008. Les inquiétudes concernant le système bancaire américain pourraient persister, mais elles ne se devraient pas se transformer pas en une crise structurelle.
La trajectoire économique n'est pas modifiée de manière significative. Un éventuel ralentissement de la croissance du crédit pourrait freiner l'activité, mais aussi accélérer la trajectoire descendante de l'inflation.
L'inflation a été reléguée au second plan, bien que temporairement, par rapport aux préoccupations en matière de stabilité financière. La Fed surveillera les risques et fera probablement une pause plus tôt qu'elle ne l'aurait fait autrement.
Le marché obligataire signale que la Fed freine trop fort. Au cours des 30 dernières années, chaque fois que le rendement du Trésor à 2 ans est tombé en dessous du taux des fonds fédéraux, cela a signifié la fin de la hausse des taux de la Fed.
Les problèmes des banques sont une nouvelle péripétie dans un marché baissier vieillissant. Les secteurs défensifs et une exposition appropriée aux obligations à long terme peuvent aider à surmonter la volatilité.
En conclusion, si les événements de la semaine dernière rappellent la crise bancaire de 2008, il existe des différences notables.
En 2008, les coupables étaient une prise de risque excessive et des pertes de crédit dues à des prêts douteux et à des produits dérivés, suite à l'éclatement de la bulle immobilière. En revanche, la SVB a été confrontée à une crise de liquidité lorsque de nombreux déposants ont voulu récupérer leur argent d'un seul coup, dans le cadre d'un classique bankrun.
Les réglementations et les réformes adoptées en 2010 obligent les grandes banques à détenir beaucoup plus de capital et à se soumettre à des tests de résistance annuels pour démontrer qu'elles peuvent faire face à une grave récession économique. En conséquence, les bilans se sont améliorés et les niveaux de fonds propres dans le secteur bancaire sont nettement plus élevés. Le ratio de fonds propres de catégorie 1 des banques américaines, une mesure de la solidité financière, est bien supérieur à sa moyenne avant les trois dernières récessions.
Calendrier de la semaine :
⚠️ Décision de la fed : Mercredi 22 mars janvier à 19H ⚠️
Marchés crypto
Bitcoin
Alors que le secteur financier mondial a été mis à rude épreuve au cours de la semaine, le BTC a affiché une hausse stupéfiante de 27,17 %, éclipsant tous les principaux actifs. La Fed étant coincée entre le marteau (effondrement systémique) et l'enclume (hyperinflation), elle a pris la décision de dénouer une partie importante de son QT en augmentant la taille de son bilan à ~300 milliards de dollars.
Dans toute cette agitation, le BTC s'est démarqué de la foule, brisant la corrélation avec les actions de manière significative et se positionnant comme un actif de fuite vers la sécurité, à l'instar de l'or.
Ethereum
Dans le sillage de son grand frère, l'éther a progressé de 26,67 % au cours de la même période pour atteindre 1750 $.
La donnée la plus révélatrice de l’état du marché des dérivés crypto au cours de la semaine écoulée est peut-être l'open-interest qui n’a pas bougé pour l'ETH (6 milliards) alors qu’il a atteint un sommet pluriannuel de plus de 10 milliards de dollars pour le BTC.
Compte tenu du fork Shanghai/Capella prévu pour le mois prochain, cette dynamique réaffirme l'idée que le BTC est utilisé comme couverture contre la crise bancaire à venir et qu’il emporte avec lui le reste des cryptos.
Altcoins
Arbitrum, a annoncé l'airdrop de son propre jeton 'ARB'. Prévu pour le 23 mars, l'ARB d'Arbitrum sera distribué aux membres de la communauté qui répondent à des critères spécifiques, marquant ainsi la transition d'Arbitrum vers une DAO. Le token est initialement destiné à servir de jeton de gouvernance et fait l’objet d’une hype sans précédent auprès de la communauté crypto.
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En bref:
La date de mise à jour d'Ethereum à Shanghai est officiellement fixée au 12 avril
BlackRock fait l'éloge de la tokenisation des actifs numériques
Meta met fin à tous les projets de NFT pour Instagram et Facebook.
📊 L'analyse de la semaine
Les valeurs refuges
Covid-19, inflation, hausse des taux d'intérêt et conflit en Europe. Ce ne sont là que quelques-unes des causes de l'incertitude qui règne actuellement dans le monde et qui, à son tour, a eu un impact notable sur les marchés financiers. En période d'incertitude, les investisseurs ont tendance à se tourner vers ce que l'on appelle les "actifs refuges". Mais qu'est-ce qu'une valeur refuge ? Et comment investir dans ces actifs ?
Qu'est-ce qu'une valeur refuge ?
Une valeur refuge est un actif dont on s'attend à ce qu'il conserve ou augmente sa valeur pendant les périodes d'incertitude économique et de turbulences sur les marchés. Les investisseurs recherchent des actifs refuges dans ces périodes afin de limiter leur exposition à d'éventuelles baisses du marché.
Dans toute discussion sur les actifs refuges, les mêmes noms reviennent régulièrement. Toutefois, il est important de noter que ce qui est considéré comme un actif refuge peut varier en fonction de la situation économique générale et que :
Toutes les valeurs refuges ne conviennent pas à toutes les baisses de marché.
Par conséquent, pour trouver un actif refuge approprié, les investisseurs doivent faire leurs propres recherches et s'assurer que l'investissement en question est adapté à ce qu'ils cherchent à obtenir.
L'or
Lorsque la majorité des gens pensent à un actif refuge, la première chose qui leur vient à l'esprit est probablement l'or.
Bien que l'or n'ait techniquement aucune valeur intrinsèque, l'humanité a été attirée par ce métal précieux brillant et lui a accordé de la valeur pendant des siècles. À tel point que bon nombre des plus grandes banques centrales du monde détiennent elles-mêmes d'importantes réserves d'or afin d'atténuer les risques et de se prémunir contre l'inflation.
Historiquement, il a toujours été démontré que l'or conservait, voire augmentait, sa valeur en période d'incertitude et de baisse des marchés, bien que cela soit dû en grande partie à la psychologie.
Les prix sont déterminés par l'offre et la demande sur le marché. Lorsque l'incertitude augmente ou que les marchés mondiaux chutent, le premier réflexe de nombreux investisseurs est de se tourner vers l'or. Cela entraîne une augmentation de la demande d'or et, par conséquent, comme l'offre d'or est limitée dans le monde, son prix augmente.
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Les obligations d'État
Pour ceux qui ne connaissent pas les obligations, il s'agit d'une sorte de "reconnaissance de dette" qui rapporte des intérêts. L'investisseur qui achète une obligation prête essentiellement de l'argent à l'émetteur de l'obligation, qui s'engage à rembourser le montant initial du prêt en totalité à une date future spécifiée, ainsi que tout intérêt applicable.
Les entreprises comme les gouvernements émettent des obligations. Toutefois, les obligations émises par les gouvernements des grandes économies développées sont considérées comme presque sans risque, car il est extrêmement improbable qu'un tel gouvernement fasse défaut sur sa dette.
Par conséquent, les obligations d'État émises par des pays tels que les États-Unis et le Royaume-Uni sont largement considérées comme des investissements refuges et ont tendance à susciter davantage d'intérêt en période d'incertitude économique.
Les devises refuges
Le franc suisse et le yen japonais sont considérés, dans une certaine mesure, comme des valeurs refuges. Souvent, dans des circonstances volatiles, les investisseurs convertissent leurs liquidités et/ou leurs investissements dans l'une de ces monnaies refuges.
Le franc suisse
Grâce à son taux de chômage pratiquement nul, à son niveau de vie élevé, à sa balance commerciale positive, à son taux d'inflation historiquement bas et à son secteur bancaire sûr (enfin jusqu’à la débandade du Crédit Suisse), le franc suisse est également considéré par beaucoup comme une monnaie refuge et, en période de turbulences boursières, la demande pour le franc augmente souvent.
L'indépendance de la Suisse par rapport à l'Union européenne la met quelque peu à l'abri des événements politiques et économiques négatifs qui se produisent dans la région. Par ailleurs, la Suisse est également considéré comme un paradis fiscal pour les personnes fortunées, qui profitent de la haute sécurité du pays et de ses caractéristiques bancaires anonymes pour échapper parfois à l'impôt.
Le yen japonais
Pour le yen japonais, c’est la même chose. Les arguments en faveur du yen en tant que monnaie refuge sont intéressants.
Le gouvernement japonais, ses entreprises et les investisseurs individuels ont tendance à détenir une grande quantité d'argent à l'étranger, ce qui vaut au pays le titre de "plus grand créancier du monde". Les obligations d'État étrangères sont particulièrement intéressantes, car elles ont tendance à offrir des rendements plus élevés que les obligations généralement à faible rendement émises par le gouvernement japonais.
Toutefois, en période de troubles ou de panique sur les marchés, les investisseurs japonais ont l'habitude de se défaire d'une grande partie de leurs positions à l'étranger et de les reconvertir dans leur monnaie nationale. Cela augmente la demande de yens et, par conséquent, son prix.
Les actions refuges
Si certains pensent qu'il faut éviter complètement les marchés boursiers en période d'incertitude, il existe des secteurs défensifs qui ont tendance à bien se comporter indépendamment de ce qui se passe sur le marché en général, et certains les considèrent comme des valeurs refuges.
Il s'agit avant tout d'actions de sociétés qui produisent des biens dont la demande est inélastique, c'est-à-dire des biens que les gens continueront d'acheter quoi qu'il arrive.
Il s'agit par exemple d'entreprises qui produisent des biens de consommation de base comme Proctor & Gamble, des entreprises de services publics comme Dominion Energy, des supermarchés comme Tesco ou Carrefour et certaines actions dites "pécheresses" comme Altria (tabac) ou Pernod Ricard (alcools)
Toutes ces entreprises ont en commun de produire et de vendre des biens dont la demande ne sera généralement pas très affectée par les ralentissements économiques et qui, par conséquent, continueront à bien se comporter pendant ces périodes. Et si ces actions versent à leurs investisseurs un dividende en espèces, ce qui est le cas de nombreuses actions défensives, c'est encore mieux !
Conclusion
Les placements refuges peuvent constituer un choix judicieux pour de nombreux investisseurs. Cependant, il est important de comprendre que si les valeurs refuges peuvent offrir une stabilité et même une augmentation de la valeur pendant les périodes de baisse des marchés, elles peuvent également fournir un rendement moindre pendant les périodes de hausse des marchés, en raison de leur risque plus faible.
Evidemment, si les banques japonaises ou le japon entre en guerre, n’achetez pas du yen japonais ! Cela parait évident; Il faut savoir adapter sa valeur refuge en fonction de la situation.
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Toute décision d'investissement comporte des risques et ne peut relever que de la seule compétence de celui qui l'a prise. MoneyRadar ne donne pas de conseils en investissement.
💎 Le projet de la semaine
BITCOIN
Bitcoin est souvent considéré comme une valeur refuge en raison de sa nature décentralisée, de sa rareté et de sa capacité à résister à l'inflation. Mais poussons le raisonnement jusqu’au bout.
Décentralisation :
Bitcoin repose sur une technologie de chaîne de blocs, qui est un système décentralisé sans autorité centrale. Contrairement aux monnaies traditionnelles, qui sont régulées par les gouvernements et les banques centrales, Bitcoin élimine les risques liés aux politiques monétaires imprudentes et à la manipulation des taux d'intérêt. Les investisseurs se tournent souvent vers Bitcoin en période d'instabilité économique pour se protéger contre les fluctuations du marché.
Rareté :
Bitcoin a une offre limitée, avec un plafond maximal de 21 millions de pièces; Cette rareté crée une perception de valeur similaire à celle de l'or, qui est également considéré comme une valeur refuge. En outre, la réduction de moitié programmée de la récompense des mineurs de Bitcoin tous les quatre ans assure une diminution constante de l'inflation, ce qui renforce la proposition de valeur de Bitcoin en tant que valeur refuge.
Protection contre l'inflation :
L'inflation est un problème majeur pour de nombreuses monnaies fiduciaires, notamment en raison de la politique d'assouplissement quantitatif mise en œuvre par de nombreuses banques centrales. En revanche, Bitcoin a une politique d'émission monétaire prévisible et déflationniste. Cette caractéristique attire les investisseurs qui cherchent à se protéger contre l'érosion de la valeur de leur capital.
Alors les qualités du Bitcoin en font-ils une valeur refuge ?
Hum, c’est plus compliqué que ça !
Le cours du Bitcoin est extrêmement volatil, ce qui peut rendre son utilisation risquée. Cette instabilité rend difficile son adoption en tant que valeur refuge idéale, car les investisseurs cherchent généralement des actifs stables et prévisibles pour protéger leur capital.
Et force est de constater que la corrélation entre le Bitcoin et le Nasdaq est extrêmement forte. La raison est simple, le Bitcoin est considéré comme de la tech par les investisseurs institutionnels. Si le Nasdaq baisse, le Bitcoin suivra le même chemin. Par forcément une bonne pioche donc en cas de panique sur les marchés financiers traditionnels.
Autre point problématique, l’utilisation reste limitée. La faible adoption par les commerçants et la méconnaissance du grand public sont des obstacles à son adoption massive. En conséquence, le Bitcoin ne peut pas encore être considéré comme une solution universelle aux problèmes monétaires et financiers.
Enfin la fiscalité ne va pas dans le sens de la crypto. Si vous perdez de l’argent, c’est votre problème, si vous en gagnez alors vous payez 30% de flat-tax. On a fait mieux comme valeur refuge.
Conclusion
En conclusion, bien que le Bitcoin présente des avantages indéniables, tels que sa décentralisation, ou la facilité des transactions internationales, il n'est pas une solution idéale. Sa volatilité, les régulations gouvernementales et la complexité technologique pour le grand public posent certaines limites.
Néanmoins, le Bitcoin et d'autres cryptomonnaies peuvent constituer une option intéressante pour diversifier son portefeuille d'investissement, en particulier en tant que valeur refuge alternative. Il est donc pertinent d'envisager d'inclure du Bitcoin dans une stratégie de diversification.
🎁 L'invité de la semaine
Guillaume vulgarise l'économie, la finance et l'investissement. Il est le fondateur de Regenize : une communauté qui propose de devenir son propre conseiller financier.
Bourse : gérer activement ou passivement ?
Investir en Bourse c’est d’abord définir une stratégie en lien avec ses objectifs et son profil de risque. Mais c’est aussi composer avec la conjoncture et les mouvements de marchés.
C’est la différence entre la stratégie et la tactique : la stratégie représente le plan à long terme, la tactique c’est plutôt les actions que l’on prend à court terme en fonction du paysage financier.
Construire une stratégie, c’est construire une allocation d’actifs (actions, matières premières, cryptos, etc.) puis choisir une enveloppe (PEA, Assurance vie, Compte Titres, etc.) et des supports.
Par exemple, pour investir en actions, on peut choisir l’enveloppe du PEA et accéder à un certain nombre de supports :
Titres vifs : investir dans des actions en direct en achetant directement l’action LVMH, Total, etc. On appelle ça du stock picking.
Fonds actifs : ce sont des fonds gérés activement par des gérants/sociétés de gestion. Leurs objectifs est de battre le marché (leur indice de référence) mais leurs frais sont élevés (2% par an en moyenne)
Fonds passifs (Trackers/ETF) : les trackers suivent l’évolution d’un indice. Leur but n’est donc pas de battre le marché mais plutôt de suivre le marché. Leurs frais sont beaucoup moins importants que les fonds actifs (< 0.5% par an).
Le stock picking est une manière d’investir activement. Cela repose sur une analyse détaillée de la société et nécessite des connaissances importantes en termes de comptabilité et finance pour faire les bons choix (éplucher le bilan et compte de résultats, lire le rapport annuel, suivre l’actualité de l’entreprise, etc.).
Mais pour l’investisseur, choisir soi-même ses actions nécessite un bagage financier solide et de vraies convictions dans le ou les entreprises sélectionnées.
⚠️ Autre point noir : la diversification. il ne faut pas mettre tous ces œufs dans le même panier (si tu as choisi uniquement des valeurs bancaires, tu dois le regretter en ce moment 😇)
Une autre option pour gérer activement ses investissements consiste à confier cette tâche à une société de gestion en investissant dans des fonds actifs. Ce sont donc des pros de la finance qui font le travail d’analyse et de sélection de la société.
La contrepartie ? Des frais importants (2% par an) sans aucune garantie de battre le marché. (D’ailleurs, plusieurs études montrent que 90% des fonds actifs ne battent pas le marché sur le long terme).
Alors pourquoi ne pas partir sur une gestion passive ?
C’est un type de gestion qui suit l’évolution des marchés, sans faire plus (ni moins) et à moindre frais.
La gestion passive a été rendue possible avec les ETFs, ces fonds qui répliquent la performance d’un indice de référence comme le MSCI World (Actions Monde), le S&P500 (Actions US) ou encore le CAC40 (Actions France).
La gestion passive via des ETFs assure :
Une bonne diversification (on est exposé à un panier d’actions qui dépend de l’indice choisi)
Une bonne performance : des rendements de 7% à 9% par an sur les 20 dernières années en fonction de l’indice
Un moindre coût : des frais faibles (inférieur à 0,5% par an), soit en moyenne 4x inférieur aux fonds actifs gérés par des pros
Une sérénité et tranquillité d’esprit irremplaçable.
Une stratégie en gestion passive est un bon moyen d’allier stratégie et tactique en limitant le risque grâce à une bonne diversification (paniers d’actions) et en limitant l’exposition à un seul secteur.
Pour en savoir plus sur le sujet, vous pouvez consulter mes “feuilles volantes” 👇
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